Brammer
Le nouveau QG de Brammer France
Depuis la fin du mois d’août, les services du siège ainsi que la plate-forme logistique principale de Brammer France sont installés dans un bâtiment du Technipark de Saint-Michel-sur-Orge. Spacieuse et fonctionnelle, cette nouvelle implantation francilienne va permettre au leader européen de la MRO dans l’industrie d’améliorer encore la qualité du service fourni à la clientèle.
Implantée à Saint-Michel-sur-Orge sur un terrain de 3 Ha situé en bordure de la N104 menant à Paris d’où elle est parfaitement visible, la nouvelle implantation de Brammer France regroupe le siège et la plate-forme logistique principale du distributeur. Celui-ci bénéficie en ce lieu d’une réserve foncière et d’une possibilité d’extension de sa zone de stockage (via l’aménagement possible d’une mezzanine) qui vont lui permettre de faire face à son développement, aussi fort soit-il, durant de nombreuses années.
Pour transférer sur ce site son stock de produits relevant du cœur de son métier historique (roulements, produits liés à la transmission mécanique et pneumatique, y compris les moteurs et variateurs de fréquence, à la fluiditique, à l’étanchéité et à l’automatisation industrielle…) auparavant conservé à Nozay, une commune distante de 10 km, la filiale française de Brammer a choisi de procéder progressivement. Préparée durant une année entière, l’implantation du stock sur la nouvelle plate-forme, réalisée entre les mois de mai et de juillet dernier, n’a de fait occasionné aucune rupture dans l’activité du distributeur. Une réussite dont se félicite Gilles Tisserand, responsable de la logistique chez Brammer France : « Grâce à une préparation minutieuse incluant de nombreux tests pour s’assurer de la fiabilité de l’organisation mise en place dès le début de la mise en service de la plate-forme, dont l’activité est graduellement montée en puissance, nous avons atteint notre objectif de maintenir la qualité de service ».
Depuis le courant de l’été, la nouvelle plate-forme française de Brammer s’est ainsi entièrement substituée à celle de Nozay. Deux mille cinq cents lignes de commandes y sont en moyenne quotidiennement traitées (cinq jours par semaine, d’un bout de l’année à l’autre)...