Castolin
L’électrolyse dyomix®, la flamme écologique
Basée sur la technologie d’électrolyse dyomix® développée depuis 2009, le procédé CleanTech dyomix® permet de produire, facilement et sans stockage, un combustible propre et performant à partir de l’oxygène et de l’hydrogène naturellement présents dans l’eau. La flamme ainsi produite, brûlant à plus de 2 500°C, est particulièrement adaptée aux besoins des professionnels utilisant une flamme dans leurs applications quotidiennes. Elle est notamment compatible avec tous les produits de brasage (métal d’apport et flux) du marché. Au fil du temps, cette technologie a été suffisamment miniaturisée pour être intégrée dans un appareil compact, léger et mobile, dont la concrétisation a pris forme dans le Castolin dyomix® OHM 2.4 destiné qui génère donc par un phénomène d’électrolyse de l’oxygène et de l’hydrogène à partir de l’eau déminéralisée.
Cet appareil sur chariot est relié à un chalumeau AutoFlam OH entièrement développé pour l’occasion afin d’offrir une compatibilité à 100% avec la technologie dyomix®. Du fait de la pureté du gaz produit et de sa qualité constante, aucun réglage particulier n’est demandé au niveau de cette torche dont l’utilisation est ainsi simplifiée. Par ailleurs, un seul tuyau la relie désormais au chariot, ce qui permet de la doter d’un axe pivotant limitant le risque d’apparition de TMS pour les utilisateurs. Ajoutons que le chalumeau intègre un anti-retour pare flamme double action directement dans son manche.
La flamme produite en elle-même est plus claire (plus transparente et légèrement bleutée) que celle obtenue avec les mélanges oxygène acétylène et possède un pouvoir calorifique plus important, ce qui nécessite un petit temps d’adaptation pour les utilisateurs, même si le mode de travail en lui-même reste identique et ne demande aucune formation particulière de remise à niveau.
La consommation de cette solution Castolin dyomix® OHM 2.4 est particulièrement économique. Sans tenir compte du prix modique de l’eau déminéralisée par rapport à celui des bouteilles de gaz, il suffit d’un quart de litre d’eau pour réaliser une heure de soudage. A cette économie dans le consommable, il faut ajouter tous les coûts annexes cachés tels le réglage de l’appareil, le stockage du gaz et les divers déplacements à effectuer aux dépôts de gaz.